Emile Cotte semble être un homme heureux et, par les temps qui courent, ça relève de l’exception. Il est vrai qu’il a toutes les raisons de se réjouir. Ce chef talentueux a marqué de son talent ses passages au 110 de Taillevent puis chez Drouant, où il a tenu les cuisines avant de quitter volontairement ce type de grandes tables parisiennes. Son bût ? Retrouver ses fondamentaux, ses goûts et ses envies profondes trop longtemps mises de côté. L’année particulière du Covid l’a paradoxalement aidé dans cette mutation.
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