Voilà donc le sémillant Juan Arbelaez devenu en quelques articles de magazines principalement féminins la coqueluche de ces dames. Normal, il est vivant, presque exubérant, souriant, nature, belle gueule un peu typée hidalgo des mers du sud, colombien ce qui fait rêver car personne n’a jamais été en Colombie, et bon cuisinier de surcroit.
Le risque est toujours le même : surexposition, il dit oui à tout ce qui passe, parraine un fromage industriel, participe à des évènements souvent sans grand intérêt, prend une participation ou un partenariat dans des restaurants, et vient de changer la configuration de son flagship restaurant de l’hôtel Marignan. C’est du boulot...
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